Nommé d’après l’architecte à l’origine du lieu, ajouté à la maison en 1920, le cottage abrite deux chambres doubles reliées par un petit salon organisé autour d’une ancienne cheminée. Idéal pour les familles. Le mobilier a été chiné en Inde et en Afrique du Sud.
Il s’agit de la plus grande et peut être la plus belle de la maison. Située à l’intérieur de la maison historique, dans une extension datant des années 1920, cette chambre a évidemment reçu le nom de Kasturba, la fidèle épouse de Gandhi. Son sol parqueté entoure un grand lit, lui-même faisant face à une cheminée. Deux fauteuils entourent cette cheminée et un bureau offre une vue sur le jardin potager. Sous la charpente impressionnante, un mobilier chiné en Inde et en Afrique du Sud vient habiller cette suite très prisée qui offre un accès immédiat au musée.
Avocat, journaliste et ami de Gandhi, Henry Polak prête son nom à l’une des trois chambres de l’aile nouvelle dont l’architecture se devait d’être fondamentalement différente de la maison historique. Ainsi, pour rompre avec le blanc immaculé du kraal, la brique sud-africaine s’est imposée. Sobre, dominée par le blanc du khadi, ce coton tissé dont Gandhi se drapait, la décoration compose avec des teintes et des matériaux naturels, le mobilier a été chiné en Inde et en Afrique du Sud.
Accolée à la maison originelle mais récemment bâtie, cette chambre dédiée au premier biographe et ami de Gandhi (il écrivit la biographie dans l’actuelle salle à manger) dispose d’un bureau, d’un lit double et d’une salle de bains. Des lampes Gras rouges sont la seule concession à la couleur vive parmi les teintes organiques.